Archives de l’auteur : Renaud Perronnet

À propos Renaud Perronnet

ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d'accompagnement psychothérapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes réponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs : Ma formation première est celle d'un philosophe. Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit (et que peut-être vous découvrez) est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions (et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes.) Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil

S’accepter soi-même

Pour aller plus loin à propos de “Comment se trouver ?”, lisez :

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En toutes circonstances, préservons le lien

La barbarie c’est d’être contraint à renoncer à son humanité

Nous savons tous que certaines personnes qui – parce qu’elles prétendent redouter la mort d’un être qui leur est cher – renoncent à lui rendre visite et à lui témoigner amour et bienveillance. Il ne s’agit pas ici de les juger mais de comprendre le mécanisme émotionnel dont ces personnes sont les esclaves.

Déterminées par leur refus d’accepter le départ de ceux ou celles dont elles pensent avoir besoin, elles ne peuvent qu’obéir à leur peur de les voir partir.

Souvent – par un habile tour de passe-passe – ces personnes cherchent à faire croire qu’elles agissent par compassion pour leur proche alors que c’est à elles que la mort de ce proche est insupportable.

Le conditionnement par la peur

Accompagner jusqu’au bout celui qu’on aime nécessite un travail sur ses émotions.

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Intolérance et vaccination

Pour aller plus loin et découvrir quelques posts à propos du COVID 19, cliquez sur :

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Ma dignité

Pour aller plus loin et lire à propos de la dignité et des limites, lisez :

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Travail thérapeutique

Pour aller plus loin et lire à propos du travail thérapeutique proposé (quoi, pourquoi, comment et avec qui ?), consultez :

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Enfer ou paradis ?

Pour aller plus loin et mesurer l’importance de la non division, lisez :

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Comment accepter ce que l’on a subi ?

Question de Fatiha :

J’ai 50 ans. Comment accepter ce que l’on a vécu… subi… ma mère est restée avec mon père et nous devions mon frère et moi subir sa tyrannie… pas de bruit… ne pas se faire remarquer et parfois quelques violences physiques et verbales… nous avions à cœur mon frère et moi de protéger ma mère.

Mes pistes de réponse :

Il est vain – pour un être – de s’obliger à penser qu’il « devrait accepter ce qu’il a vécu et subi. »

S’obliger à accepter est un non-sens parce que cela reviendrait à se faire un devoir d’agir à propos de quelque chose qui n’est pas en notre pouvoir.

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Humain libre

Pour aller plus loin et réfléchir à l’importance de l’interprétation que nous faisons de ce qui nous arrive, lisez :

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Apeirogon, toutes les facettes d’un conflit

« La seule vengeance consiste à faire la paix. »

Un frère d’Abir

 

« Nous ne parlons pas de la paix, nous la faisons. »

Bassam et Rami

Il y a toujours une alternative à la guerre, l’attitude de Bassam et Rami, prodigieusement mise en scène par l’écriture de Colum McCann l’illustre magistralement.

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Modèles parentaux

Pour aller plus loin et réfléchir à  la notion de parent conscient, lisez :

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Contrôle de soi

Pour aller plus loin et réfléchir à propos du contrôle de soi, lisez :

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Faut-il se pardonner ?

Question de Whiteporpoise :

J’ai aujourd’hui 40 ans, je commence à vivre et à être heureuse. J’ai coupé les liens familiaux et progresse pas à pas seule bien plus qu’en 24 ans de thérapie.

J’apprends à habiter la personne que je suis devenue, à la comprendre et à l’interroger. Certaines périodes sont plus empreintes de nostalgie. Mais il y en a aussi des splendides.

Un point m’effraie néanmoins : à une période je suis revenue temporairement vivre dans ma famille. Tous me rejetaient par leur comportement (critique, mépris, jalousie). Je refoulais totalement la personne que j’étais. J’étais odieuse et en même temps je cherchais entièrement leur reconnaissance, amour, regard. Au final je leur offrais fleurs, cadeaux pour me faire pardonner.

Comment me pardonner ?

Mes pistes de réponse :

Il n’y a, en effet, rien de plus précieux pour un être que de sentir qu’il peut enfin vivre et parvenir à être heureux, même si le prix à payer en est de devoir s’éloigner – ne serait-ce que temporairement – de sa famille. (Je précise « temporairement » parce que le test de la paix intérieure est bien de ne ressentir le besoin de s’éloigner de personne.)

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Un islam fraternel

La voie soufie ‘Alawiyya, au cœur de l’islam

« Si la liberté peut se défendre par les armes, l’égalité par les lois, la fraternité, elle, ne peut vivre et croître que dans le cœur de l’homme. »

Cheikh Khaled Bentounès

Qui donc oserait affirmer – dans le monde d’aujourd’hui – que le musulman pouvait se définir comme « celui qui ne fait pas de mal à autrui, ni par l’acte, ni par la parole » ?

Et pourtant le Cheikh Khaled Bentounès, guide spirituel de la confrérie soufie ‘Alawiyya, qui depuis plus de 40 ans parcourt le monde pour promouvoir le dialogue interreligieux, affirme que le prophète Mohammed le définissait ainsi.

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