Archives de l’auteur : Renaud Perronnet

À propos Renaud Perronnet

ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d'accompagnement psychothérapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes réponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs : Ma formation première est celle d'un philosophe. Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit (et que peut-être vous découvrez) est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions (et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes.) Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil

Enfer ou paradis ?

Pour aller plus loin et mesurer l’importance de la non division, lisez :

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Comment accepter ce que l’on a subi ?

Question de Fatiha :

J’ai 50 ans. Comment accepter ce que l’on a vécu… subi… ma mère est restée avec mon père et nous devions mon frère et moi subir sa tyrannie… pas de bruit… ne pas se faire remarquer et parfois quelques violences physiques et verbales… nous avions à cœur mon frère et moi de protéger ma mère.

Mes pistes de réponse :

Il est vain – pour un être – de s’obliger à penser qu’il « devrait accepter ce qu’il a vécu et subi. »

S’obliger à accepter est un non-sens parce que cela reviendrait à se faire un devoir d’agir à propos de quelque chose qui n’est pas en notre pouvoir.

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Humain libre

Pour aller plus loin et réfléchir à l’importance de l’interprétation que nous faisons de ce qui nous arrive, lisez :

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Apeirogon, toutes les facettes d’un conflit

« La seule vengeance consiste à faire la paix. »

Un frère d’Abir

 

« Nous ne parlons pas de la paix, nous la faisons. »

Bassam et Rami

Il y a toujours une alternative à la guerre, l’attitude de Bassam et Rami, prodigieusement mise en scène par l’écriture de Colum McCann l’illustre magistralement.

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Modèles parentaux

Pour aller plus loin et réfléchir à  la notion de parent conscient, lisez :

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Contrôle de soi

Pour aller plus loin et réfléchir à propos du contrôle de soi, lisez :

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Faut-il se pardonner ?

Question de Whiteporpoise :

J’ai aujourd’hui 40 ans, je commence à vivre et à être heureuse. J’ai coupé les liens familiaux et progresse pas à pas seule bien plus qu’en 24 ans de thérapie.

J’apprends à habiter la personne que je suis devenue, à la comprendre et à l’interroger. Certaines périodes sont plus empreintes de nostalgie. Mais il y en a aussi des splendides.

Un point m’effraie néanmoins : à une période je suis revenue temporairement vivre dans ma famille. Tous me rejetaient par leur comportement (critique, mépris, jalousie). Je refoulais totalement la personne que j’étais. J’étais odieuse et en même temps je cherchais entièrement leur reconnaissance, amour, regard. Au final je leur offrais fleurs, cadeaux pour me faire pardonner.

Comment me pardonner ?

Mes pistes de réponse :

Il n’y a, en effet, rien de plus précieux pour un être que de sentir qu’il peut enfin vivre et parvenir à être heureux, même si le prix à payer en est de devoir s’éloigner – ne serait-ce que temporairement – de sa famille. (Je précise « temporairement » parce que le test de la paix intérieure est bien de ne ressentir le besoin de s’éloigner de personne.)

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Un islam fraternel

La voie soufie ‘Alawiyya, au cœur de l’islam

« Si la liberté peut se défendre par les armes, l’égalité par les lois, la fraternité, elle, ne peut vivre et croître que dans le cœur de l’homme. »

Cheikh Khaled Bentounès

Qui donc oserait affirmer – dans le monde d’aujourd’hui – que le musulman pouvait se définir comme « celui qui ne fait pas de mal à autrui, ni par l’acte, ni par la parole » ?

Et pourtant le Cheikh Khaled Bentounès, guide spirituel de la confrérie soufie ‘Alawiyya, qui depuis plus de 40 ans parcourt le monde pour promouvoir le dialogue interreligieux, affirme que le prophète Mohammed le définissait ainsi.

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Relations amoureuses

Pour aller plus loin et réfléchir à ce qu’aimer veut dire, lisez :

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Qui est « Tu » ?

« Le Poète est un souverain, qui se tient au centre des choses. Car le monde n’est ni peint ni paré, il est beau, dès l’origine ; Dieu n’a pas créé un certain nombre de choses belles, c’est la Beauté qui est créatrice de l’univers. »

Ralph Waldo Emerson, Essais.

Si nous sommes déjà ce que nous cherchons, nous ne sommes que des chercheurs qui n’ont rien à trouver…

S’il vous arrive de penser qu’il n’y a rien à dire, de penser que dire ne sert à rien, lisez Antoine Simon, poète métaphysicien qui se joue des mots avec élégance, humour et impertinence :

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Désespoir et euthanasie

« Aujourd’hui, on compte 530 000 personnes âgées en situation de mort sociale, c’est-à-dire sans ou quasiment sans contacts avec les différents cercles de sociabilité (cercle familial, amical, voisinage et réseaux associatifs). C’est l’équivalent de la ville de Lyon. »

Rapport des Petits Frères des Pauvres sur l’isolement au 30/09/21

Suite à la crise sanitaire « on a protégé nos vieux mais on les a désespérés, bon nombre d’entre eux, privés de ce qui leur donnait le goût de vivre , se sont laissés mourir dans la plus grande indignité. (…) Le fait qu’en pleine pandémie plusieurs propositions de loi pour une aide médicalisée à mourir aient été discutées comme une urgence au Parlement doit nous interroger. (…) Il est paradoxal, en effet, de présenter aux Français une loi pour mourir dans la dignité par injection létale, au moment où plus de 100 000 familles vivent les affres d’un deuil impossible à faire, puisqu’on a privé leur proche du droit imprescriptible à l’accompagnement, à l’échange des adieux, à la présence humaine au moment de la mort. »

Marie de Hennezel, Le Monde du 30/09/21

« Les arbitrages politiques sont financiers et peu soucieux de préserver l’humain. »

Tweet de Marie de Hennezel du 4/10/21 10:07 AM

Pour aller plus loin et réfléchir à comment prendre soin des personnes âgées, lisez :

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Dissiper l’illusion

L’art de voir avec les yeux du cœur

Pour sortir de l’illusion en n’adhérant plus automatiquement aux pensées, nous aurons besoin d’une intelligence fine et objective capable d’un subtil discernement.

C’est là l’essence du propos d’Éric Edelmann, dans son livre La splendeur du vrai, paru aux Éditions Le Relié, 2021, dont je ne saurai trop vous recommander la lecture.

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Droit au changement

Pour aller plus loin à propos de l’impermanence, lisez :

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