Pour aller plus loin et comprendre à quel moment mettre les limites à l’autre, lisez cette réflexion :
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« Avant mes 14 ans, les garçons de ma classe m’auront déjà traitée de salope, de pute, de connasse, de plein d’autres choses. C’est juste pour rire, bien sûr ! »
Cette phrase est extraite d’une vidéo* qui nous interpelle tous mais s’adresse spécifiquement aux hommes.
En effet, existe-t-il un seul homme qui de près ou de loin n’ait participé à l’humiliation des « filles », ne serait-ce qu’en ayant assisté à une maltraitance sexiste sans être intervenu ?
« Dès lors que l’on se présente uniquement en thérapeute face à un autre être humain, on perd déjà la moitié de son humanité. »
Edward Podvoll (psychiatre et psychanalyste qui révolutionna l’accueil et le traitement des personnes psychotiques à travers le projet Windhorse.)
Récemment, alors que j’animais une formation sur la relation soignant / soigné, auprès d’infirmières d’un centre hospitalier de l’est de la France, alors que nous réfléchissions ensemble sur la manière d’entrer en relation avec des personnes traumatisées, l’une d’entre elles est intervenue pour dire qu’il ne fallait pas exagérer et que les abus sexuels dont les enfants étaient victimes ne laissaient généralement pas de traces dans leur vie ultérieure.
Choqué par son affirmation, selon moi, non fondée, je lui ai demandé ce qui lui permettait d’être si certaine de ce qu’elle affirmait. Elle m’a répondu qu’elle avait entendu dire cela récemment à la télé par un psychiatre renommé dont elle avait oublié le nom.
Après quelques recherches sur internet, j’ai découvert que le pédopsychiatre en question s’appelait Marcel Rufo, qu’il était auteur de nombreux ouvrages consacrés à l’enfance et avait en effet tenu des propos plus que suspects dans l’émission de télévision « Allo Rufo » du 3 décembre 2012, diffusée sur France 5. Il s’agit d’une émission quotidienne de 6 minutes, dans laquelle il répond aux questions des auditeurs, « sans aucun tabou », est-il précisé.
S’il vous arrive de penser :
Ou qu’au contraire vous sentez :
« Le meilleur service que l’on puisse rendre à l’autre, c’est de lui faire comprendre que c’est l’inconscient qui l’incite à agir et de l’aider à comprendre cet inconscient. »
S. Prajñânpad.
« Nul n’est méchant volontairement. »
Socrate.
Question de Casadessus :
Je bats ma femme et la fais souffrir comment faire pour arrêter et plutôt l’aider ?
Ma réponse :
Si la souffrance que vous infligez à votre femme vous fait souffrir (on peut le penser puisque vous posez cette question et dites vouloir l’aider), c’est que vous l’aimez, et que vous êtes suffisamment courageux pour oser poser une question qui remet en cause votre propre comportement.
Oser se remettre en question dans un tel contexte n’est pas une petite affaire. Etes-vous prêt à vous confronter à des vérités qui peuvent être à la fois douloureuses et difficiles à accepter pour vous ? Donc à regarder en face « ce qui vous pousse à la violence » ?
La France a signé et ratifié le 7 août 1990 la Convention des droits de l’enfant. L’article 19 de cette Convention stipule que les États signataires « prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l’enfant contre toutes formes de violence, d’atteinte ou de brutalités physiques ou mentales ».
Or, en France, d’après un sondage SOFRES de janvier 1999, 80% des parents donnent à leurs enfants gifles et fessées quand ce ne sont pas des coups de martinet ou de ceinture. Presque tout le monde trouve cela normal, inoffensif et même nécessaire. Et les services sociaux et la Justice n’interviennent que dans les cas extrêmes.
Pourquoi est-il permis de frapper un enfant alors qu’il est interdit de frapper un homme adulte, une femme, une personne âgée et, en prison, le pire des criminels? Nos lois ne permettraient-elles d’agresser que les plus faibles?
Les enfants ont le droit d’être élevés sans violence, ce qui ne signifie pas sans fermeté.
Étude nationale sur les décès au sein du couple : bilan des neuf premiers mois de 2006.
(Source : Ministère de l’intérieur)
Numéro d’urgence contre la violence faire aux femmes : Appelez le 3919
Question de Bluelita :
Depuis près d’un an et demi je suis avec mon ami et nous envisageons de nous marier en juin mais il a des comportements agressifs envers moi. La semaine dernière parce que ça n’allait pas à son boulot et au retour de son loisir qui est le football, étant très énervé je lui ai demandé de se calmer et il a posé ses mains autour de ma gorge voulant m’étrangler. Quelques jours plus tard, il m’avoue qu’il a honte de ce geste et m’indique que son père a eu ces mêmes gestes envers sa mère et lui, et qu’une fois son père a planté un couteau dans la jambe de sa mère.
Aujourd’hui je me demande ce que je peux faire pour l’aider il ne veut pas aller voir de médecin, il me dit qu’il y arrivera seul, mais l’an dernier il m’a violenté et était allé voir le médecin mais cela n’a guère changé.
Que dois je faire ? Comment l’aider ? J’ai peur d’une vie future avec lui mais je tiens à lui.
« La violence n’est pas un jeu ; la violence n’est pas amusante ; la violence n’est pas une forme d’entraînement sportif ; la violence tue. »
Dave Grossman.
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