Cette réflexion vous intéresse, pour aller plus loin et découvrir comment gérer ses émotions dans la relation à une personne en souffrance, lisez :
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Vous vous sentez démuni face à votre enfant, votre mari, votre épouse, un(e) ami(e) ou un collaborateur, mais savez-vous l’écouter ? Savez-vous vous rendre vulnérable face à lui ? Comment allez vous vous y prendre pour le faire ?
Objectif / contenu : Il s’agit d’abord de répondre à 10 questions essentielles qui vous aideront à vous interroger sur vous-même et à vous remettre en cause avant d’écouter. Ensuite il s’agira d’apprendre à écouter l’autre en respectant 5 phases et en lui posant 4 questions. Enfin vous pourrez faire ce petit test personnel en 7 points pour vous parfaire : Savez-vous écouter l’autre ?
« Ce n’est pas tant l’aide de nos amis qui nous aide que notre confiance dans cette aide. »
Epicure.
Question de Marie-Claude :
Assistante de Travail Social, en Bourgogne.
Je suis « aidante » dans un groupe de femmes qui sont dans une démarche de trouver le chemin de l’abstinence par rapport à l’alcool. Depuis trois séances, une jeune femme de 33 ans, maman de cinq enfants, n’arrive pas à supporter que ses enfants et son mari ne lui fassent plus confiance. Ils la surveillent en permanence, fouillent dans son sac à main, ont mis des mouchards sur son ordinateur… ils ne la croient pas, quand elle dit ne pas avoir bu alors que cela était vrai et à cause de cela, elle vient de replonger. Elle dit avoir confiance en moi car je ne la juge pas. Je me rends disponible pour elle et je pense être bienveillante car je l’écoute (j’ai fait une formation « Approche Centrée sur la Personne » (1), mais je me sens démunie…
Ma réponse :
Pour ne pas devoir faire les frais d’un aidé agressif, il faut pratiquer l’art de « savoir le prendre »…
Objectif / contenu : S’entrainer à appliquer un protocole précis (ce qu’il y a à faire + les précautions à prendre) en 8 points pour « désamorcer la crise », afin que l’aidé retrouve – autant que possible – son calme et sa sérénité, pour le plus grand avantage de l’institution, de l’équipe comme de vous-même.
À propos de l’écoute et de l’empathie : Comment s’y prendre pour soigner une femme ?
« Qui soignes-tu, en cet instant ?
Eux, ou toi ? » (1)
Telle est LA question de la relation d’aide.
Le livre de Martin Winckler Le Chœur des femmes (Editions P.O.L) est un roman de formation mais aussi un roman pédagogique en milieu médical. (Cf. l’interview vidéo de l’auteur que vous découvrirez plus bas.)
Il met en scène la rencontre de deux médecins : Jean (Djinn) Atwood, une jeune et volontaire interne de chirurgie gynécologique, qui doit passer six mois dans le service 77 mais n’a pas du tout envie d’y perdre son temps à « tenir les mains des patientes » et Franz Karma, le praticien d’une cinquantaine d’années qui dirige ce service et s’est consacré depuis trente ans à la santé des femmes.
Je partage ici avec vous l’un des premiers chapitres de ce roman réaliste dans lequel la brillante interne assiste, pour la première fois, aux consultations du Dr Karma et à sa manière particulière d’entrer en relation avec ses patientes.
Vous découvrirez en italiques les monologues intérieurs émotionnels de la jeune interne, qui « bout » en face de ce qu’elle considère encore comme des maladresses…
« Je bondis sur mes pieds pour le suivre dans le couloir et je le vois s’approcher du comptoir, y prendre un petit dossier blanc rectangulaire, entrer dans la salle d’attente, appeler un nom, ressortir. Une femme sort derrière lui, sac et écharpe au bras. Il lui serre la main et me désigne.
– Bonjour, madame. Est-ce que vous permettez que notre interne, le docteur Atwood, assiste à la consultation? Continuer la lecture
L’importance de la relation au thérapeute
« Ce n’est pas tant l’aide de nos amis qui nous aide que notre confiance dans cette aide. »
Épicure.
Pouvez-vous énoncer clairement votre but ? Votre intention en allant consulter un thérapeute ?
Êtes-vous certain de vouloir ce qu’en apparence vous semblez vouloir ?
Prendre un temps pour tenter de répondre honnêtement pour soi-même à cette question est très important puisque cela conditionne votre implication.
Extrait de « Communiquer avec des adultes âgés » de © Martine Perron, Editions Chronique Sociale : Madame V, ou les dialogues de sourds.
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