La confiance en soi pour gérer la relation à ses proches

ÉCOUTEZ : S'éveiller à sa propre dignité(© RENAUD PERRONNET - Téléchargement du podcast en bas de page)


Devenir libre de sa famille et de ses amis

« Notre véritable nature n’est pas un idéal auquel nous devons aspirer. C’est la personne que nous sommes maintenant et c’est ce avec quoi nous pouvons entrer en amitié et célébrer. »

Pema Chödrön (Moniale bouddhiste)

Tout le monde s’accorde pour dire qu’il est nécessaire d’avoir confiance en soi, comme si cela était facile, comme si nous n’avions qu’à aller pêcher cette confiance au fond de nous-même, comme si elle était là, tapie dans l’ombre, à attendre que nous nous intéressions à elle.

Or la confiance en soi-même n’est pas innée, il n’est donc possible de la trouver en soi-même que si elle y a été déposée. Si personne ne nous a donné l’opportunité de cultiver notre confiance en nous-même, il nous sera certainement très difficile, voire impossible de la ressentir.

De même que c’est parce que nous avons rencontré une personne qui nous a donné l’opportunité de ressentir ce que c’est que d’être pleinement humain que nous pouvons à notre tour le devenir. Nous ne pouvons avoir confiance en nous-même que si nous avons été préalablement reconnus positivement par d’autres.

Sans ce témoignage, cette reconnaissance préalable par d’autres, il ne peut pas y avoir de confiance en soi-même puisque c’est l’autre qui peut – comme dans un miroir – nous faire miroiter notre valeur intrinsèque afin que nous puissions la reconnaître.

Par là-même, nous sommes tous – au moment de notre construction dans l’enfance et selon ce qui se passera pour nous dans notre relation à nos proches – extrêmement vulnérables puisque si nous lisons dans les yeux d’un autre proche que nous sommes quelqu’un de bien, nous grandirons dans le respect de nous-même et de notre dignité, mais si le regard de l’autre proche nous dit que nous n’avons aucune valeur et que nous sommes méprisables, nous serons incapables de trouver une quelconque confiance en nous pour remettre en cause ses jugements tant que – dans notre dépendance – nous resterons persuadés que ce que l’autre dit de nous est vrai.

Le chemin de la confiance en nous-même nous demande donc de commencer par comprendre qu’il est un lieu dans lequel – sauf très rares exceptions – nous n’avons pas pu puiser notre confiance en nous-même, que ce lieu est celui de notre famille, miroir originel dans lequel se réfléchit l’image de nous-même à laquelle nous croyons.  Cela signifie que si – comme la plupart des personnes – nous n’avons pas été reconnu(e) dans notre intégrité propre par nos parents, il est à la fois parfaitement « normal » et obligé que nous n’ayons pas confiance en nous.

En effet, l’être humain est profondément relationnel, puisque chacun de nous s’est construit en référence à d’autres. Nous avons tous besoin des autres pour nous autoriser à exister : « Sans Autre, tout s’éteint : un cerveau a besoin d’être stimulé par un autre cerveau pour ne pas s’atrophier. Une personne a besoin d’un autre monde mental pour mieux comprendre le sien. Un être isolé n’a rien à penser, il ne peut penser par lui-même que si un autre pense aussi par lui-même, mais autrement. » écrit Boris Cyrulnik dans son dernier livre Quarante voleurs en carence affective.1

Cultiver la confiance en soi c’est commencer par reconnaître sans mauvaise conscience que si nous n’avons pas confiance en nous-même c’est parce que nos parents, dont la mission était de nous permettre de nous tenir debout dans la vie, en comptant sur nos propres forces, ont failli quand ils ont préféré nous conditionner à être ce qu’ils pensaient que nous devions être. Ils n’ont pas pu (su, voulu) nous accompagner sur le chemin du devenir de qui nous étions avec nos singularités et nos caractéristiques propres.2

Dans leur fausse compassion, beaucoup de parents conditionnent leurs enfants à être des victimes de la vie, comme quand – par exemple – ils font croire à leurs petits que s’ils se sont cognés sur la table c’est à coup sûr parce que la table est « méchante », plutôt que de chercher à les accompagner dans la découverte de leur propre responsabilité.

À travers cette attitude courante et inconsciemment criminelle, beaucoup de parents croyant bien faire et ignorant eux-mêmes qu’ils souffrent parce qu’ils vivent leur propre vie comme des victimes, demeureront incapables de percevoir qu’ils conditionnent leurs propres enfants – pour leur plus grand malheur – à devenir eux-mêmes et à leur tour les victimes de ce qui leur arrive.

Autre exemple. On connaît déjà l’impact du sport sur la santé mentale et la diminution du stress et de l’anxiété. Mais il existe aujourd’hui de nombreuses données probantes sur les avantages du « jeu risqué ».  On définit le jeu risqué3 comme un jeu libre et passionnant dont l’issue est incertaine et qui comporte une possibilité de blessure physique, par exemple, grimper dans les arbres, faire du vélo à grande vitesse, se chamailler, jouer à proximité du feu ou de l’eau, le tout avec une supervision limitée.

Du point de vue de la santé physique et mentale des enfants, ce type de jeu favorise le développement de leurs habilités cognitives et motrices, de leur capacité à évaluer les risques, et contribue également à réduire leur sensibilité aux conflits, au développement d’une meilleure estime de soi, d’une plus grande concentration ainsi qu’au développement d’habiletés socioaffectives.

Or la plupart des parents surprotègent leurs enfants en les empêchant de prendre le moindre risque et en leur répétant constamment « arrête, tu vas tomber ! » Et ainsi ils créent des enfants peureux et repliés sur eux-mêmes (et leurs smartphones – bien plus dangereux que les jeux dits risqués).

Dans la plupart des cas, la famille n’est pas un lieu qui permet confiance4. La famille est le lieu dans lequel nous avons tous été stigmatisés à partir de jugements qui nous enfermaient dans des identités exclusives du type « c’est bien toi ». La famille n’est ni le lieu du respect, ni celui du droit à l’erreur, la famille ne permet pas la liberté, c’est-à-dire que pour l’infinie majorité d’entre nous, elle n’a pas été le lieu à l’intérieur duquel nous avons pu nous sentir respectés et reconnus sur la base de ce que nous nous sentions être.

En règle générale, la famille est le lieu par excellence de la projection des parents sur leurs enfants. Le lieu à l’intérieur duquel nous avons tous plus ou moins consciemment ressentis qu’il nous était demandé d’être comme il nous fallait être, quitte à devoir renoncer à celui ou à celle que nous nous sentions être, et cela sous peine d’excommunication. Pour nous tous, la famille a été le lieu par excellence du dressage, le lieu où, comme l’a écrit Françoise Dolto en parlant des parents : « Ils n’élèvent pas leurs enfants, mais ils les dressent, les matent, les flattent, les achètent, les châtrent en un mot, et ce petit monstre perverti s’appelle un enfant bien élevé. »

Au passage, il est intéressant de remarquer que si les parents ne savent pas s’y prendre autrement qu’en pervertissant leur enfant, c’est parce qu’ils sont eux aussi la proie d’une absence de confiance en eux-mêmes flagrante.

Un parent confiant en lui-même ne craint pas de se montrer tel qu’il est, capable de vérité et d’authenticité, il reste détendu avec lui-même, même en cas de conflit avec les autres.

A contrario, un parent qui n’a pas confiance en lui-même est un parent qui force les choses en s’obligeant à la manipulation et à la roublardise avec ses enfants. Dans sa peur de ne pas être ce qu’il croit devoir être et auquel il s’oblige, ce parent voudra absolument paraître en cherchant à afficher de lui-même une image d’autorité à la fois flatteuse et trompeuse. Se sentant incapable d’admettre et de reconnaître ses erreurs, incapable de se montrer tel qu’il est, un simple être humain faillible, il aura nécessairement recours à des comportements hypocrites liés à son besoin de dominer à tout prix. Celui qui n’est pas en paix avec lui-même cherche à donner le change, il aura tendance à tricher avec les siens, à chercher à les abuser par le biais de son autorité comme beaucoup d’hommes savent si bien le faire, quand ses paroles et ses actes ne seront pas à la hauteur de l’apparence qu’il voudra donner.

Tout cela pour comprendre une fois encore que l’absence de confiance en soi-même fausse nos rapports avec les autres en même temps qu’elle est un obstacle à tout progrès intérieur.

Dans un tel contexte d’absolue incompréhension du rôle de parent, le vrai et bon parent ne pourrait être que celui qui, ayant entrepris un travail sur lui-même, ne ressentirait plus le besoin d’être un parent fusionnel et dominateur, mais un simple adulte respectueux de ses enfants. Le vrai et bon parent serait celui qui ayant réussi à se désengager personnellement des images qu’il projette sur ses enfants, serait parvenu à se sentir personnellement libre d’eux. Ainsi il ne pourrait que laisser à son tour ses propres enfants libres d’être et de devenir qui ils sont vraiment.5

Beaucoup d’enfants – prisonniers de leurs besoins d’être aimés par leurs parents plus ou moins abusifs, dominateurs et fusionnels – se font enfermer dans un rôle qui les empêchera définitivement de recevoir la « bonne » reconnaissance dont ils ont besoin pour faire grandir leur confiance en eux. Pire, dans cet enfermement ils s’assurent dramatiquement de leur incapacité future à pouvoir un jour s’appuyer sur eux-mêmes en se faisant confiance et tournent désespérément dans un cercle à la fois vicieux et mortifère pour eux-mêmes.

Nous pouvons tous faire cette expérience simple qui consiste pendant quelques instants à nous mettre à l’écoute de tous les jugements que nos parents ont proférés sur nous. Nous pouvons tous facilement en dresser la liste… une liste mensongère montrant bien la manière dont nous avons été stigmatisés à partir de ce que l’on nous a dit que nous étions et qui parlait en vérité des fantasmes et des peurs que nos parents projetaient sur nous.

Il nous devient alors facile de comprendre qu’en nous identifiant à ces jugements, nous ne pouvons qu’irrémédiablement perdre toute confiance en nous.

C’est la raison pour laquelle, pour acquérir cette fameuse confiance en soi-même, il faut d’abord faire sauter ce lien mortifère qui nous lie à nos parents, ne pas en rester prisonniers, c’est-à-dire nous rendre libres d’eux.

Quand j’entends une personne, pourtant adulte, parler spontanément de ses parents en disant « papa » ou « maman », cela me laisse songeur quant à la relation que cette personne entretient avec sa propre liberté.

Dans la pratique, nous avons donc besoin – pour devenir libres de ces influences néfastes – d’arrêter de croire ce que nos parents ont dit et continuent le plus souvent de dire de nous et pour cela, rien de tel que de prendre du recul en les voyant moins, ou même plus du tout.

Prendre une distance à la fois émotionnelle et physique avec des personnes qui ne nous veulent manifestement pas du bien (même si ce sont nos parents et qu’il y a là une forme de tabou à transgresser pour nous), est une nécessité vitale pour celui qui aspire à la liberté.

Or nous avons plutôt tendance à essayer de nous rapprocher de nos parents, sous le prétexte de ne pas vouloir leur faire du mal et en rêvant qu’ils pourraient changer et devenir aimants avec nous, qu’ils pourraient enfin nous reconnaître. Combien d’adultes attendent encore à un âge avancé de leur vieux parent encore en vie qu’il leur dise enfin, « je suis fier de toi ! », sans avoir conscience que leur besoin de reconnaissance et d’approbation de la part de personnes « infirmes du cœur » entrave leur confiance en eux-mêmes.

Tentons de voir lucidement qui fait du mal à l’autre : est-ce le parent qui voulant son enfant (même devenu adulte) comme il pense qu’il doit être et lui faisant encore des reproches cherche à l’abuser, ou l’enfant devenu adulte qui, ayant compris la manipulation de son parent, cherche à se dégager de son influence mortifère en ne le voyant plus ?

Devons-nous tolérer de rester indéfiniment un objet, une chose ? Pourquoi devrions-nous avoir des états d’âme vis-à-vis de gens qui plombent notre confiance en nous-même ? Il ne faut pas confondre compassion pour un être et compassion mal située, toxique, face à la négativité des autres. Il est légitime de s’éloigner d’une personne qui nous juge en nous disant que nous sommes nul(le) d’avoir agi comme nous avons agi, il est légitime de trouver en soi le courage de sortir ces personnes-là de notre vie. Tolérer la négativité des autres à notre égard n’a rien à voir avec de la compassion6 mais s’apparente à du masochisme.

Seulement les choses ne sont malheureusement pas vécues avec autant de simplicité : la plupart des personnes qui songent à prendre de la distance avec leurs parents dysfonctionnels, sont au même moment rongé intérieurement par la culpabilité et la mauvaise conscience7. Le plus souvent inhibés et confus dans leur relation d’amour/haine vis-à-vis de leurs parents, les enfants devenus adultes, plutôt que de rompre la malédiction transgénérationnelle avec leurs parents, s’y soumettent ; en s’y soumettant ils ne savent pas qu’ils se condamnent à la perpétuer avec leurs propres enfants. Manipulés par leur inconscient jamais éclairé, ils se condamnent à la répétition.

Rares sont les adultes qui – ne cédant pas à la peur d’être eux-mêmes, se donnent les moyens de devenir libres de leurs parents, et apprennent ainsi à respecter leurs propres enfants.

Il nous faut remettre en cause la vision généralement angéliste que nous avons de nos parents, qui voudrait nous faire croire qu’ils sont des personnes fragiles, incapables de supporter qu’on puisse les questionner ou être différent d’eux. Il nous serait utile de nous interroger sur la nature du lien que nous entretenons avec eux, lien de soumission infantile à la peur de blesser, ou véritable amour de celui qui parce qu’il se sent en confiance et aimé, sait que quoi qu’il fasse il sera entendu et compris par celui qui l’aime ?

 Les dernières recherches en neurosciences confirment que l’élaboration mentale entraine la multiplication des connexions synaptiques, ce qui signifie que le sens que l’on donne aux choses modifie les circuits de communication de notre cerveau, donc notre représentation de nous-même, donc notre capacité à agir en conséquence de ces représentations.

Puisse cet article modifier la représentation que vous vous faites de vous-même dans votre relation à votre famille en vous aidant à respecter votre dignité. Les mécanismes névrotiques qui nous enserrent sont solides et ne se laissent pas facilement mettre en cause. Pour y parvenir, nous avons besoin de ce qui nous manque le plus – osons le répéter – de confiance en nous-même. Pourquoi devrions-nous continuer de satisfaire des personnes qui ne nous veulent pas de bien ? Pourquoi nous condamnerions-nous à devoir rester des éternels enfants insécures et peureux face à elles ?

La confiance en soi-même, c’est d’abord la confiance dans le fait qu’il n’est pas mal de respecter ses propres besoins. Nous sommes tous des personnes uniques et différentes qui ressentent le besoin de se réaliser sur la base de ce qu’elles sentent juste et bon pour elles.

Pour changer de paradigme et ne plus devoir obéir à des personnes insensées (et maltraitantes souvent sans en avoir conscience), nous aurons préalablement besoin de nous appuyer sur notre légitimité, sur notre confiance en nous-même, et pour l’acquérir puisque nous en manquons, nous aurons besoin de nous entourer de vrais amis qui sauront nous respecter ; nous aurons besoin d’être en relation avec des gens qui nous veulent vraiment du bien.

Comme je le disais au tout début de cet article, la confiance en soi-même est nécessairement la conséquence de quelque chose que l’on a semé chez nous, il est donc inutile ne nous en vouloir en nous répétant que nous devrions avoir confiance en nous (alors que ça nous est pour le moment impossible). C’est parce qu’il se sent autorisé à être ce qu’il est par une personne en laquelle il a confiance qu’un être humain va consentir à être lui-même, qu’il va s’autoriser à se lancer pour devenir ce qu’il est. D’où l’importance énorme de nos relations.

Pour commencer à se sortir de cette dévalorisation constante de soi-même, il n’y a pas d’autre moyen que celui de sortir des sentiers battus de la morale conventionnelle pour apprendre à faire clairement la distinction entre les personnes qui nous veulent du mal et celles qui nous veulent du bien, entre nos « faux amis » et nos « vrais amis ». Cultiver sa confiance en soi c’est commencer par se créer des relations saines pour soi-même, c’est apprendre à reconnaître et à croire les personnes qui vont témoigner justement de nous-même. Or les personnes capables de témoigner justement de nous-même sont celles qui nous prennent tels que nous sommes.

C’est parfois dans la relation thérapeutique que nous pouvons rencontrer notre premier vrai ami, puisqu’entreprendre une thérapie c’est déjà reconnaître que quelque chose ne va pas et se donner à soi-même la possibilité de se sentir accepté tel que l’on est, en ne se sentant pas jugé par le/la thérapeute. Il m’arrive cependant très souvent – en tant que thérapeute – de me sentir faire bien peu le poids face aux influences négatives que subissent beaucoup de mes clients.

Il est à remarquer que toute reconnaissance n’est pas bonne à prendre puisque certaines attitudes que nous prenons pour des reconnaissances (et qui parfois même nous flattent) peuvent être à la fois manipulatrices et perverses comme par exemple celles qui pendant longtemps ont enfermé les femmes dans un rôle dévolu de bonnes ménagères ou cuisinières.

Ce type de reconnaissance est perverse en ce qu’elle cherche à valoriser les qualités d’une personne de manière à l’enfermer dans un rôle exclusif qui profitera à celui ou à celle qui ne la respecte pas.

Nous avons donc besoin d’être reconnus – non pas à n’importe quel prix – mais dans notre importance propre et intrinsèque à travers nos qualités inhérentes. C’est à cette condition que nous ferons grandir en nous peu à peu notre confiance en nous accompagné du sentiment de notre propre dignité.8

Assumer son humanité et sa dignité, c’est assumer sa différence dans l’impermanence des choses et des êtres, ce qui signifie assumer ses incertitudes, sa fragilité, ses erreurs comme sa capacité à se rendre vulnérable, et cela se fait progressivement en rencontrant des personnes qui nous apprécient vraiment et ne cherchent ni à nous changer ni à nous soumettre mais sont aimantes et bienveillantes envers nous. Et cela change tout !

Ainsi, petit à petit émerge une confiance en soi-même, véritable joyau de l’être.

Ce travail de connaissance de soi et de ses besoins propres, d’ouverture à d’autres qui nous respectent, d’audace de faire du neuf en nous séparant des êtres aux comportements toxiques, demande à être fait lucidement sans prise de tête, sans pathos ni état d’âme, il peut être envisagé comme une mise en pratique simple et confiante à partir de ce que vous aurez compris de l’importance de vos relations, après la lecture de cet article.

C’est à cette condition que faisant peu à peu grandir votre confiance en vous-même, vous deviendrez la personne pacifiée que vous ignorez encore être pour le moment.

© 2024 Renaud Perronnet. Tous droits réservés.

Notes :

1. Boris Cyrulnik, Quarante voleurs en carence affective, Éditions Odile Jacob, 2023, p. 181.

2. Lire à ce propos l’article : À propos des parents aux comportements toxiques

3. Pour aller plus loin, et connaître les 8 types de jeux risqués, lisez : Le jeu risqué et ses bienfaits.

4. Lisez à ce propos l’article : Comment parvenir à guérir de son enfance ?

5. Lire à ce propos l’article : Aimer inconditionnellement son enfant

6. Lire à ce propos l’article : Compassion idiote

7. Lire à ce propos l’article : Culpabilité et amour de soi

8. Lire à ce propos l’article : S’éveiller à sa propre dignité

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4 Commentaires
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Nan

Merci Renaud, j’ai relu plusieurs fois et j’ai fini par comprendre. Effectivement vous avez une fois de plus répondu à ma question. Vous m’êtes d’une grande aide.

Isabel

Une synthèse de nombreux articles tellement claire qu’elle résonne en moi avec force, merci pour tous vos partages qui me nourrissent en corrélation avec mon travail psychothérapeutique. Vous avez participé à ma libération et je tenais à vous en faire part, avec toute ma reconnaissance ! Merci beaucoup monsieur Perronnet !
Isabel

Ruth

Merci pour cet écrit.

Catherine

Merci pour ce texte Renaud ! Il est pour moi un merveilleux tuteur de résilience. Bon dimanche à vous, C.