Question d’E. F. :
Infirmière.
J’ai participé l’année dernière à votre formation « Se préparer à accompagner les mourants » à l’hôpital X. Je me permets de vous contacter, car je prépare mon mémoire pour mon DIU de soins palliatifs et d’accompagnement sur la crémation.
Si vous êtes d’accord, je voudrais vous demander votre point de vue, en tant que philosophe, sur les cendres et sur le fait qu’une famille puisse se partager les cendres ou les déposer dans un endroit de leur choix.
Est-ce que cela peut déboucher sur un deuil pathologique ?
ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d’accompagnement psychothérapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes réponses.
Avertissement aux lectrices et aux lecteurs :
Ma formation première est celle d’un philosophe. Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit (et que peut-être vous découvrez) est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions (et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes.)