« Un patient Alzheimer, ce n’est pas forcément un patient grabataire au fond de son lit, c’est un patient qui au début a quelques troubles et qu’il va falloir accompagner tout au long de l’évolution de cette maladie… Ce qui me semble important, c’est de proposer différentes actions thérapeutiques, médicamenteuses ou non, pour vivre malgré tout avec cette maladie. »
Docteur Drunat.
« Ne pas regarder sans cesse ce que l’on perd ou a perdu, mais ce qu’il nous reste de capacité, d’intelligence ou de sensibilité… et il n’y a qu’ainsi que la maladie peut être supportée et la vie continuer d’être vécue, avec le but de faire de chaque instant un moment important. »
Claude Couturier (patient Alzheimer.)
Regard et parole fondamentalement « révolutionnaires » sur l’accompagnement d’un malade atteint d’Alzheimer, le livre de Colette Roumanoff Le bonheur plus fort que l’oubli donne des pistes précises pour qui veut éviter « les mille et une manières d’aggraver la maladie » (titre du chapitre 6) et au contraire apprendre « les mille et une manières d’améliorer le quotidien » (titre du chapitre 10).