Pour une nouvelle façon d’habiter le monde qui permettrait de survivre dans le chaos.
« La performance ne sert que le confort individuel en excluant les autres, humains comme non humains, la robustesse fait des liens le levier de l’équilibre et de la survie du groupe. »
Olivier Hamant
Une croissance infinie sur une planète finie n’a aucun sens. Puisque ce sont nos habitudes qui construisent les crises, il nous faut revoir nos habitudes notamment en cessant de chercher à être performant.
L’efficacité ne doit pas être notre projet car si c’est l’être humain qui est la mesure de toute chose et non le profit, il va nous falloir privilégier la qualité de notre être plutôt que la quantité de nos actes.
Parce que la vie est ailleurs, ne cédons pas à l’attraction du burn-out, ni aux objectifs de croissance qui fragilisent le vivant.
Et si nous cessions de chercher à être efficaces, en optant pour le bien être, le travailler moins pour être mieux, la perte de contrôle, l’acceptation de l’erreur et du gâchis, la lenteur, le non rentable et la juste mesure ?
Habiter ce monde sans questionner la performance est à coup sûr une folie puisqu’il va nous falloir vivre l’adaptabilité permanente pour passer du « toujours plus » au « moins mais mieux », du « tout travail mérite salaire » au « tout salaire mérite travail ».
Ce sont là les démonstrations d’Olivier Hamant qui substituant la perplexité à l’efficacité, nous invite à grandir sans devoir nous agrandir.
Je vous invite à en faire la découverte en lisant ce petit fascicule de 60 pages que vous pourrez facilement télécharger en PDF moyennant quelques euros (pour ce faire cliquez sur l’image) :
Pour aller plus loin, vous pouvez aussi visionner cette conférence d’Olivier Hamant (d’une durée de 70′) : La robustesse du vivant comme antidote au culte de la performance :
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Avertissement aux lectrices et aux lecteurs :
Ma formation première est celle d’un philosophe. Il est possible que les idées émises dans ces articles vous apparaissent osées ou déconcertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expérience, je ne vous invite pas à croire ces idées parce qu’elles sont écrites, mais à vérifier par vous-même si ce qui est écrit (et que peut-être vous découvrez) est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions (et peut-être de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes.)
