La plupart du temps le chagrin est égoïste. Nous pleurons celui qui est mort seulement parce que nous sommes privés de son aide, de son assistance, de sa compagnie, etc. L’action correcte consisterait soit à évaluer la vie de celui qui est mort, et surtout les buts qu’il poursuivait, soit à accepter le fait qu’il n’est plus et voir ce qu’il convient de faire. La moindre des choses serait de ne tirer aucun avantage personnel de sa disparition.
– Swami Prajnanpad, Le Maître du Oui, 10 août.