Et si nous devenions conscients ?

Nous ressemblons aux agneaux dans la prairie, folâtrant sous les yeux du boucher, qui en choisit d’abord un pour victime puis un autre. C’est ainsi que dans nos bons jours nous sommes tous inconscients du malheur que le destin peut nous réserver – maladie, pauvreté, mutilations, perte de la vue ou de la raison.

Arthur Schopenhauer